IA School : pourquoi cette école change la donne dans l’intelligence artificielle
Imaginez une époque où les entreprises se disputent chaque profil capable de dompter l’intelligence artificielle. Ce moment, c’est maintenant. Dans cet élan technologique mondial, une école française s’impose discrètement mais sûrement : l’IA School. Créée en 2021, cette école pas comme les autres forme des esprits agiles, à l’aise aussi bien avec les équations complexes qu’avec les problématiques économiques. À l’heure où l’intelligence artificielle redessine nos métiers, elle cultive un profil rare : l’ingénieur stratège.
école hybride qui change les codes
Dès ses débuts, l’IA School a pris un virage que peu d’écoles ont osé emprunter. Ni purement technique, ni strictement business, sa pédagogie mêle code et réflexion stratégique dans un seul et même parcours. L’idée ? Former des professionnels complets, capables de comprendre autant le langage des machines que celui des décideurs.
Sur son campus lumineux de Boulogne-Billancourt, les salles résonnent autant de discussions sur l’architecture des réseaux de neurones que d’analyses de modèles économiques. Pendant ma visite, un groupe d’étudiants travaillait à optimiser une chaîne logistique grâce au machine learning. L’énergie était palpable.
Ce modèle s’étend. Lyon et Lille accueillent désormais leurs propres antennes de l’IA School. Une croissance mesurée mais significative, qui traduit un intérêt croissant pour cette formation hybride.
Les valeurs de l’école — audace, créativité, engagement, ouverture — ne sont pas de simples slogans. Elles s’incarnent dans les projets développés chaque année : un outil de détection de maladies végétales pour une coopérative locale, ou encore une app d’analyse émotionnelle sur les réseaux sociaux.
Le double cursus, ADN de l’IA School
Une base technique solide
Le Bachelor s’étale sur trois ans. Dès la première année, les étudiants jonglent avec le langage Python et les bases du marketing digital. Loin des cours théoriques figés, l’apprentissage se fait par immersion dans des cas concrets. À 18 ans, Malik crée sa première IA qui analyse les émotions dans les tweets. Et il en parle comme d’un jeu d’enfant.
En deuxième année, les étudiants peuvent opter pour l’alternance. Clara, par exemple, partage sa semaine entre l’école et une startup spécialisée en recommandation musicale. Elle vit ses cours comme un prolongement de la réalité professionnelle.
En troisième année, cap sur la spécialisation et le projet final. Certains choisissent même de s’envoler vers les États-Unis ou l’Asie grâce aux partenariats de l’école. Une ouverture internationale dès le Bachelor.
L’expertise au cœur du Mastère
Les deux années du Mastère IA permettent d’affiner le parcours : Data Analyst ou Data Scientist. Le premier lit les données comme un linguiste lit entre les lignes. Le second les manipule pour créer des algorithmes performants. Deux expertises différentes, une même exigence.
Ici, l’alternance est quasi obligatoire. Et pour cause : les entreprises viennent directement recruter sur le campus. Lors du dernier forum, plus de 80 structures — des jeunes pousses aux géants du CAC 40 — cherchaient à dénicher leur futur expert.
Au terme du cursus, les diplômés décrochent un titre RNCP de niveau 7 (Bac+5), reconnu par l’État : “Chef de Projet Data et Intelligence Artificielle”. Ce titre atteste d’une vraie capacité opérationnelle : construire une base de données, développer une IA, gérer un projet de bout en bout.
Une admission ouverte, mais exigeante
L’IA School a choisi une voie à contre-courant : pas de Parcoursup. Elle préfère un processus d’admission plus direct, plus humain.
Les candidats passent un test écrit d’une heure — logique, maths, culture IA — suivi d’un entretien individuel. Pas de piège. Le but est de cerner la motivation, la curiosité, le potentiel. Sonia, responsable des admissions, l’assure : “Ce qu’on cherche, c’est des profils capables d’évoluer. Pas des machines à réciter.”
Le jour des sélections, j’ai croisé des terminales, des étudiants en reconversion, des profils atypiques. Tous avaient en commun une même étincelle : l’envie d’explorer un domaine en pleine ébullition.
Les résultats arrivent en 72 heures. Fini le stress interminable. Ce tempo rapide donne le ton : ici, on agit, on avance.
L’IA School et NEXA Digital School : une alliance tournée vers l’avenir
À partir de septembre 2025, l’IA School entrera dans une nouvelle phase de son développement en rejoignant NEXA Digital School. Une intégration pensée comme un levier, non une dilution. Le Groupe Eureka Education, à l’origine de ce rapprochement, veut créer une synergie forte autour des métiers du numérique.
NEXA, c’est 30 ans d’expérience, 1 250 entreprises partenaires et 16 000 anciens. Son ambition ? Rendre le digital accessible, utile et humain. Une vision parfaitement alignée avec celle de l’IA School.
Ce rapprochement élargit l’horizon des étudiants. Ils bénéficieront de :
- nouvelles passerelles entre spécialités : IA, cybersécurité, développement web, marketing digital ;
- un réseau élargi de recruteurs ;
- une visibilité renforcée sur le marché de l’emploi.
Pour Baptiste, étudiant en Mastère : “C’est une belle occasion de rencontrer des profils complémentaires. Ça enrichit notre formation.”
Des débouchés nombreux et des salaires attractifs
Les métiers liés à l’intelligence artificielle explosent. Selon Accenture, l’IA pourrait augmenter la productivité mondiale de 40 % d’ici 2035. Une révolution en marche.
Les diplômés de l’IA School trouvent leur place dans tous les secteurs :
- Data Scientist : celui qui conçoit les algorithmes prédictifs ;
- Data Analyst : celui qui transforme les données brutes en décisions éclairées ;
- Chef de projet IA : le lien entre tech et stratégie ;
- Consultant IA : l’accompagnateur du changement numérique ;
- IA Product Manager : le chef d’orchestre entre équipes techniques et utilisateurs.
Et les salaires suivent. À la sortie, on parle de 40 000 à 50 000 € bruts par an. Avec un peu d’expérience, ce montant dépasse les 70 000 €.
Sophie, diplômée en 2023, est passée en deux ans d’un stage en assurance à un poste de responsable IA. “Ce double bagage m’a propulsée. J’ai su parler aux métiers comme aux développeurs. C’est ça, la vraie valeur ajoutée.”
Tableau récapitulatif de l’offre de formation IA School
Formation | Niveau | Durée | Mode d’étude | Certifications | Spécialités |
---|---|---|---|---|---|
Bachelor IA | Bac+3 | 3 ans | Initial puis alternance possible | Titre RNCP niveau 6 | Fondamentaux de l’IA et du management |
Mastère IA | Bac+5 | 2 ans | Alternance privilégiée | Titre RNCP niveau 7 « Chef de Projet Data et IA » (RNCP37137) | Data Analyst ou Data Scientist |
IA School : une formation faite pour durer
Dans un monde en pleine mutation, l’IA School ne se contente pas de suivre la vague. Elle prépare ceux qui la créeront.
Son approche hybride, alliant data science et stratégie, répond à une attente forte du marché. Le rapprochement avec NEXA Digital School ouvre de nouvelles perspectives sans trahir son ADN.
Aujourd’hui, choisir l’IA School, c’est plus qu’intégrer une école. C’est rejoindre un mouvement, un projet, une vision.
Comme le dit un étudiant : “Ce qu’on apprend ici, ce n’est pas juste comment l’IA fonctionne. C’est comment l’IA peut changer le monde — et comment y prendre part.”
FAQ :
Qu’est-ce que l’IA School et pourquoi on en parle autant ?
Imaginez une grande école de l’intelligence artificielle qui ne forme pas des robots, mais des humains capables de parler aussi bien code que business. C’est exactement la promesse de l’IA School : une formation Bac+5 alliant big data, machine learning et management de l’intelligence artificielle. Ici, on ne vous demande pas seulement de savoir coder, mais aussi de comprendre les enjeux stratégiques qui agitent tous les secteurs de l’économie. Petite précision utile : son diplôme est certifié RNCP, donc reconnu dans le cadre de l’enseignement supérieur français, même s’il ne s’agit pas d’un diplôme visé par le ministère de l’enseignement supérieur.
À quoi ressemble le Bachelor ?
Dès la première année post-bac (Bac+1), les étudiants mettent les mains dans le cambouis : Python, statistiques, intelligence artificielle appliquée… Pas de blabla inutile, tout est orienté projet. Exemple ? En troisième année, certains bossent sur une IA destinée à fluidifier la logistique d’une grande chaîne de distribution. Et comme la théorie sans la pratique, c’est un peu sec, l’alternance est encouragée dès la deuxième année.
Et le Mastère en management de l’IA, on en parle ?
C’est le programme phare de l’école : un Bac+5 tourné vers l’opérationnel. Les étudiants y apprennent à transformer des montagnes de données en décisions concrètes. Big data, gestion d’équipe, pilotage de projets IA dans la santé ou la finance : ici, on forme les futurs stratèges capables de faire le pont entre data et direction générale.
Peut-on intégrer l’école après un Bac+1 ?
Oui, et sans passer par les cases classiques comme Parcoursup. Que vous veniez d’un BTS, d’une fac ou que vous soyez en reconversion, l’IA School privilégie les profils motivés, curieux, et pas forcément bardés de bagages techniques. Ce qui compte, c’est l’envie de rejoindre les acteurs de l’intelligence artificielle, pas la ligne de code parfaite au premier jour.
Quels débouchés après l’IA School ?
Une fois diplômés, les étudiants ne courent pas après les postes : ce sont souvent les recruteurs qui viennent à eux. Data scientist, chef de projet IA, consultant digital… Leur double compétence est recherchée dans tous les secteurs de l’économie. D’après les données internes de l’école, près de 90 % décrochent un CDI avant la remise officielle du diplôme. Et les noms cités ? L’Oréal, BNP Paribas, Renault, mais aussi des scale-up ambitieuses.
Comment se passe l’admission ?
Un test de logique et un entretien de motivation, rien de plus. Pas de concours interminable, pas de stress à rallonge. L’équipe pédagogique cherche à cerner votre potentiel à faire bouger les lignes dans le domaine de l’intelligence artificielle. Réponse sous 72 heures : rapide, clair, net.
L’alternance, c’est vraiment une option ?
C’est même une des forces du programme. Dès la deuxième année, l’étudiant peut jongler entre cours et missions en entreprise. Certaines start-up parisiennes recrutent systématiquement chez IA School. Pourquoi ? Parce que ces profils sont tout de suite opérationnels, capables de décortiquer un problème, de trouver une solution concrète, et de la mettre en place.
Le double cursus, ça donne quoi concrètement ?
Un jour, vous codez un modèle de prédiction ; le lendemain, vous réfléchissez à ses implications éthiques ou économiques. Résultat : des diplômés qui comprennent les technos, mais savent aussi parler à un comité de direction. Un ancien de l’école aujourd’hui manager IA dans l’automobile résume bien : « Je traduis les besoins métiers aux ingénieurs, et inversement. C’est fluide. C’est efficace. »
Et côté international, ça bouge ?
Oui, mais attention à ne pas prendre toutes les rumeurs pour argent comptant. L’école propose des partenariats avec des universités à l’étranger, notamment en Asie et en Amérique du Nord. Certains Mastères partent même étudier l’IA appliquée à l’agriculture urbaine à Montréal. Une vraie valeur ajoutée pour ceux qui visent une carrière à l’international dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Quel est le profil des étudiants ?
Il n’y a pas de clone ici. Littéraires passionnés de tech, anciens élèves de filière S, voire pâtissiers en reconversion : tous cohabitent dans les promos. Ce qui les rassemble, c’est l’envie de bâtir une carrière dans l’intelligence artificielle et de casser les codes. Comme le dit une prof : « On préfère la singularité au conformisme. Et ça marche. »
Comment se déroulent les projets de data science ?
Concrètement, les étudiants bossent en petits groupes sur de vraies données issues de vraies entreprises. Exemple : un projet avec Enedis pour optimiser le stockage d’énergie via le deep learning. Les encadrants ? Des pros du secteur, pas des théoriciens hors sol. De quoi préparer le terrain avant même le premier contrat.
Et pour ceux qui flippent des maths ?
Pas de panique. L’IA School ne s’adresse pas qu’aux matheux. Les statistiques sont enseignées de manière progressive et concrète. Lucie, en Bachelor, le dit sans détour : « J’avais la phobie des chiffres. Maintenant, j’explique les bases du machine learning à mes potes. » Mission accomplie.
Quel réseau professionnel en sortant ?
Plus de 300 entreprises partenaires, des hackathons tous les mois, des CTO qui passent en amphi pour partager leurs expériences. Ce n’est pas juste une école, c’est un hub. Un étudiant a même trouvé son stage chez Danone grâce à un atelier organisé en cours. Preuve que le réseau démarre dès la première année.
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